Naruto et Naruto Shippuuden • CaptaiNaruto

Naruto • Fanfic "Les cinq grandes nations en danger" par Cavas - Chapitre 18 :: CaptaiNaruto

Sommaire

Saison 1 :

Saison 2 :

Chapitre 18 : L'arrestation

Se rapprochant de leur destination, Genta et Chiba ralentirent leur allure. Ils avançaient maintenant avec précaution, la lumière de la lune éclairant leur chemin. Ils savaient que l’unité six se trouvait quelque part dans cette zone et peut être aussi le suspect. Les deux hommes se trouvaient maintenant chacun dos à un tronc d’arbre et examinaient discrètement le périmètre devant eux. Ne trouvant rien de suspect, ils décidèrent d’avancer. Au moment où Genta allait faire le premier le pas, il fut immédiatement arrêté par son équipier qui lui montra un fil caché par les feuilles devant lui. Il était quasiment invisible sous cette obscurité. Seul le reflet de la lumière qu’émettait la lune a permis à Chiba de le distinguer. Les deux ninjas suivirent le fil et vit que ce dernier retenait la chute de plusieurs kunais et shurikens. Ils échangèrent un regard qui exprimait la même expression.

Pourquoi l’unité six mettrait-elle un piège autour de sa position ? Cela n’avait aucun sens, à moins que cela n’ait été mis au point par celui qu’ils recherchent.

Les deux ninjas-policier redoublèrent de vigilance tout en examinant la zone. Ils craignaient la présence d’autres pièges. Voyant son camarade accroupi depuis plusieurs secondes, Genta s’avança vers lui et regarda par-dessus l’épaule de Chiba. Il vit ce que tous deux redoutaient.
Les trois membres de l’unité six étaient là, allongés, des kunais plantés dans le corps. Après avoir vérifié leur pouls, Chiba se retourna vers son co-équipier et secoua la tête. Genta s’approcha à son tour pour examiner les corps.

-Ils sont encore chauds, dit-il à son équipier. Il doit encore se trouver dans les parages.

Chiba acquiesça et lui montra des traces de pas non loin des corps des ninjas. Genta observa les empreintes de pas, les suivit pendant quelques secondes avant de retourner vers son camarade.

-C’est une fausse piste, dit-il. Les empreintes s’arrêtent brutalement et quand on les regarde de près, elles sont un peu plus profondes que des empreintes ordinaires.
-Tu veux dire qu’il est revenu sur ses pas en marchant à reculons ?
-C’est ce que je pense en effet. Il a voulu nous faire croire qu’il s’était dirigé dans cette direction…
-Alors qu’il est parti dans la direction opposé, dit Chiba en complétant la déduction de son équipier.

Les deux hommes trouvèrent en effet d’autres traces de pas dans l’autre direction, mais à leur surprise ils firent une nouvelle découverte et décidèrent d’en informer les autres.

-Appel à toutes les unités, ici Chiba. Nous avons découverts l’unité six… tous les membres ont été éliminés.
-Quoi ! S’exclamèrent l’unité huit et neuf.
-Avez-vous découvert quelque chose d’autre ? Demanda Sato.
-Les corps sont encore chauds, donc le suspect est encore présent dans les environs.
-Nous avons aussi découvert des traces de pas, ajouta Genta.
-Vers où se dirigent ces traces de pas ?
-Attend Takagi, il y a un autre problème, déclara Chiba.
-Que voulez-vous dire ? Demanda un ninja de l’unité neuf.
-Les traces de pas qu’on a trouvées appartiennent à deux personnes, répondit Genta.
-Le suspect est censé être seul non ? Qu’est-ce ça veut dire ? Demanda l’équipe huit.
-On n’a aucune idée de la personne en sa compagnie, dit Chiba. Mais si on se fie aux traces de pas ils se dirigent non loin de votre position, unité huit.
-Bien reçu, nous serons sur nos gardes.
-Soyez prudents, leur dit Takagi. La personne avec lui peut être un complice. Contactez-nous si vous les repérez.
-Entendu, ajouta unité huit avant de couper la communication.

-On va apporter notre soutien à l’unité huit, dit un ninja de l’unité neuf.
-On s’en occupe, reprit Sato. Vous devriez continuer votre ronde, c’est votre mission d’origine après tout. En plus, on est les plus près de l’unité huit.
-Merci de votre aide, unité neuf, ajouta Takagi. On vous informera de la situation.
-Entendu ! Bonne chance à vous ! Dit l’équipe neuf en coupant la communication.
-On vous laisse faire, dit Chiba. On va ramener ses corps au village avant que les vautours s’en occupent.
-Pouvez-vous m’en dire plus sur la manière dont ils ont été tués ? Demanda Sato.
Les deux ninjas-policiers lui fournirent tous les détails sur les trois corps.
Les shinobis de l’unité huit était en alerte maximale depuis qu’ils ont appris que le suspect se dirigeait vers leur position. Chaque ninja était caché à divers points stratégiques de façon à vite repérer l’ennemie tout en passant inaperçue. Mais rien ne se passa pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’un ninja envoie un message aux autres de l’unité.

-J’ai repéré le suspect. Je répète, j’ai repéré le suspect.
-Vois-tu quelqu’un avec lui ? Demanda un autre ninja.
-Affirmatif ! Il y a une jeune femme avec lui. Elle a les mains attachées derrière le dos à une corde que tient le suspect et ses vêtements sont déchirés. Je dirais qu’elle a essayé de lutter avec lui. Le suspect tient un kunai à l’autre main et il porte un sac à dos.

-Il a un otage ?! Quand arriveront-ils à notre position ?
-Vu leur vitesse de marche, je dirais qu’ils seront là dans trois, quatre minutes au plus.

L’unité décida de contacter les ninjas-policiers.

-Ici l’unité huit ! Nous avons le suspect en vue et il a un otage avec lui.
-Je vois, répondit Takagi, c’est comme cela qu’il a pu éliminer l’unité six. Il a dû menacer de tuer l’otage… Cette situation ne joue pas vraiment en notre faveur.
-Quel est votre situation ? Demanda Sato.
-Ils rentreront bientôt dans le périmètre que nous avons quadrillé. Une fois que le suspect se retrouvera encerclé, nous passerons à l’assaut.
-C’est trop risqué, déclara Takagi. La vie de l’otage pourrait être menacée.

-Il n’y a aucune autre solution qui garantit à 100% la sécurité de l’otage.
-Patientez s’il vous plaît ! Nous vous rejoindrons bientôt.
-Ils viennent de rentrer dans le périmètre, déclara un ninja. Nous sommes prêts à agir.
-Ne vous précipitez pas ! Supplia Takagi qui visiblement s'inquiétait pour l'otage..
-Nous n’aurons peut-être plus une telle chance. Le suspect ignore notre présence, nous bénéficierons donc de l’effet de surprise.
-Dans ce cas, continuez de les suivre, dit le ninja-policier.
-Nous ne pouvons pas les suivre indéfiniment, il finira tôt ou tard par nous remarquer.
-On sera là dans moins de cinq minutes, déclara Sato.
-Comme vous voulez, c’est votre opération après tout.

Takagi et Sato sautaient de branches en branches à pleine vitesse.
-Tu as un plan ? Demanda Sato.
-Pas vraiment, répondit Takagi. Je n’avais pas envisagé qu’il prendrait quelqu’un en otage.
-Hum, un otage… reprit Sato. On est presque qu’arrivé, ajouta celle-ci.
-Unité huit, on est là. On a le suspect en visuel.
-Quel est le plan maintenant ?

Soudain, le suspect se retourna, plaqua la femme contre lui et plaça son kunai à sa gorge.
-Montrez-vous ! Je sais que quelqu’un me suis, cria-t-il.
Il n’eut aucune réponse.
-Je n’hésiterai pas à égorger cette femme si vous ne vous montrez pas. Je compte jusqu’à trois.

-Un, commença-t-il.
Toujours aucune réponse.

-Deux !
-S’il vous plait, s’il y a quelqu’un sauvez-moi, je ne veux pas mourir. J’ai un mari et une fille qui m’attendent à la maison.

C’en était trop pour Takagi qui sorta de sa cachette.
-Qu’est-ce qu’il fait ? Chuchota un ninja à travers sa radio. Il va tous nous faire griller.
-Observons pour l’instant, répondit Sato. Mais soyez prêts à agir à tout moment.

Le suspect observa Takagi et eut un petit sourire.
-Un ninja-policier… Dépêches-toi de dire aux autres de sortir de leur cachette.
-Je suis tout seul, répondit-il.
-Ne me prend pas pour un idiot ! Comme s’ils enverront un seul ninja à la poursuite d’un fugitif.
-C’est vrai qu’on était quatre à tes trousses au début. Mais quand on a découvert les corps des ninjas que tu as tués, on en a déduit que tu étais encore dans la zone. Du coup on a décidé de se séparer pour trouver ta trace.

Voyant que l’homme était encore sceptique et craignant pour la sécurité de la jeune femme, Takagi sorti quatre kunais.

-N’essayes pas de jouer au malin avec moi, menaça l’homme qui rapprocha un peu plus le kunai de la gorge de sa captive.

Takagi ne répondit pas. Il se tourna vers l’endroit d’où il était sorti auparavant et fit tourner les kunais entre ses doigts.

Pardonne-moi Sato, se dit-il avant de lancer projectiles.

L’homme regarda en direction de l’endroit où les kunais avaient terminé leur course comme s’il s’attendait à voir quelque chose sortir des feuilles de l’arbre.
-Maintenant que je t’ai prouvé que je suis seul, relâches la jeune femme.

L’homme réfléchit quelques secondes. Takagi décida de lui mettre la pression.

-Mes équipiers ne vont pas tarder à venir ici, je les ai contactés quand je t’ai repéré, lui dit-il en lui montrant son micro. Plus tu perds du temps ici, plus ils se rapprochent.
-Bien tenté, mais ton bluff ne prend pas avec moi. Si tu les avais réellement contactés, penses-tu que ce serait logique de me donner ce genre d’information ?

Le ninja ne répondit pas, ce type n’était pas bête.
-C’est ce que je pensais, reprit-il. Je vais te détacher, dit-il à l’adresse de la femme. Tu vas fouiller ce ninja et le soulager de toutes les armes qu’il a pu cacher sur lui. Ensuite, tu lui attacheras les mains avec cette corde, ajouta-t-il en détachant les liens de la femme. Si je remarque quelque chose de suspect, ce kunai ira droit dans ta nuque.

La jeune femme s’avança vers Takagi et se débarassa de toutes ses armes. Elle se plaça ensuite derrière son dos et lui lia les mains. Soudain Takagi senti le contact d’un objet pointu contre son dos.

En une fraction de seconde, toutes les informations qu’ils ont pu avoir défilèrent dans son esprit. Tout était devenu clair maintenant. Il se maudissait de ne pas de ne pas avoir compris plus tôt. La lame avait déchiré sa veste et il senti le contact froid du métal sur sa peau. Il ragea contre lui-même, il allait mourir dans quelques instants et ses camarades ne pouvait rien pour le sauver. En effet, ceux-ci ne pouvaient pas voir ce qu’il se passait de là où ils étaient sans se faire repérer.
Il était en colère contre lui-même de mourir de la sorte. Mais c’était inévitable, la pression de la lame sur sa chair avait commencé. Il allait mourir à l’instant même où sa peau cédera face au métal. Il allait mourir célibataire, lui qui voulait se marier et fonder une famille.

Soudain, le froid du métal quitta sa peau. Il se retourna et vit la jeune la femme qui s’éffondrait, les yeux livides, la lame d’un kunai ressortant de sa gorge. Ensuite tout se passa très vite. L’homme surpris par ce qui venait d’arriver à la femme, baissa sa garde un instant. Au moment où il se ressaisi, il se retrouva au sol, deux ninjas dans son dos en train de le maîtriser et deux autres maintenaient le contact de la lame d’un kunai à sa gorge.

Takagi mit quelques secondes à assimiler ce qui venait de se passer. Jugeant par la trajectoire du kunai qui avait tué la femme et l’avait ainsi sauvé, seul Sato avait pu le lancer. Mais comment avait-elle su ?
Une fois le suspect maîtrisé, on le remit debout.

-Comment… ? Demanda-t-il à Takagi. Je t’ai vu lancer des kunais à l’endroit où avait apparu cette femme.
-Comme tu l’as surement compris, je n’étais pas seul. Tu étais encerclé dès le début. Cette femme se trouvait avec moi quand je me suis montré, dit-il en montrant Sato. J’ai mémorisé sa position et j’ai lancé mes kunais de façon à ne pas la blesser. Même si je ne l’a voyais pas, j’avais une image mentale de sa position, donc je savais exactement où elle était.
-Et si j’avais bougé ne serait-ce qu’un muscle ? interrogea Sato qui était visiblement mécontente.
-Je savais que tu ne bougerais pas de peur de révéler ta position, répondit Takagi. Mais cela ne justifie pas mon geste, excuses-moi. Surtout quand tu viens de me sauver la vie.

-Comment as-tu su qu’elle était ma complice ? Demande l’escoc à Sato.
Tout le monde la regarda, attendant son explication.
-J’avais des doutes depuis qu’on a découvert l’unité six mort, commença celle-ci. Nos camarades ont trouvé des traces de pas appartenant à deux personnes sur les lieux. Les membres de l’unité six étaient tous des jônins et pourtant ils ont été maîtrisé facilement sans pouvoir nous joindre. Et quand l’unité huit vous as repéré, ils ont identifié la femme comme étant un otage. Ce qui était normal compte tenu de ses vêtements déchirés et du fait qu’elle était attachée.

-En apprenant cela, on s’est dit que l’unité s’était faite éliminé aussi facilement car ils auraient hésité à agir en voyant un otage. Ils n’auraient donc rien tenté pour éviter qu’elle ne soit blessée, ajouta Takagi.
-Cela n’est pas suffisant pour soulever des doutes sur le fait qu’elle puisse être son complice, dit un ninja de l’unité huit.
-En effet. Mais ils ont laissé des preuves derrière eux qui soulèvent le doute, répondit Takagi. Je n’ai compris tout cela qu’au moment où j’ai senti qu’elle s’apprêtait à me poignarder. Mais Sato l’avait compris plus tôt, sinon je serais surement mort à l’heure actuelle.

-Quel genre de preuves ? Demanda l’homme.
-Je vous ai dit qu’il y avait des traces de pas de deux personnes là où les ninjas de l’unité sont morts. C’est de ces pas qu’on a pu déterminer votre direction. Mais on a aussi trouvé des traces de pas qui allait dans une direction opposée ; c’était bien sur une fausse piste. Vous vous rappelez de ce que Genta et Chiba nous ont dit à propos de ces empreintes ? Demanda-t-elle à l’unité huit ?
-Elles n’appartenaient qu’à une seule personne, s’exclama un ninja.
-Exactement ! Donc à un moment ou un autre l’otage s’était retrouvé seul pendant qu’il réalisait cela. Et celle-ci n’a pas tenté de fuir car on n’a retrouvé aucune autre trace de pas ailleurs. Donc elle attendait sagement qu’il le rejoigne. Pourquoi n’a-t-elle pas tenté de s’enfuir ?

-Elle a peut-être eu peur de tenter quelque chose, fit remarquer un ninja.
-C’est possible, admis Sato. J’ai moi-même pensé à cette possibilité. Nos équipiers ont aussi trouvé un piège autour de la position de l’unité six. Je ne pense pas qu’il a pu mettre ce genre de place en place tout en gardant la corde de l’otage en l’empêchant de fuir.
-Ce n’est pas suffisant pour conclure qu’elle était ma complice. Elle aurait pu avoir peur que je la tue ou peut être que je l’avais attaché à un arbre. Cela l’aurait empêché de bouger, dit l’homme.
-Il a raison, dit un ninja. Après tout, des ninjas venaient d’être tués sous ses yeux.

-C’est là que le bât blesse ! Déclara Takagi.

Les autres échangèrent un regard interrogatif.

-Que voulez-vous dire ? Demanda l’un deux.

-J’ai demandé à Genta et Chiba de me décrire les blessures des jônins. L’un d’eux avait été poignardé dans le dos et égorgé, expliqua Sato.

Soudain l’expression de tous les ninjas changea.

-Je vois que vous avez compris, reprit celle-ci. Pour infliger ce genre de blessure, il faut se trouver derrière la personne. Et l’homme devant nous n’aurait pas pu les faire, car il aurait été obligé de se séparer de son otage. Pas besoin d’essayer pour savoir que c’est quasiment impossible d’attaquer quelqu’un de dos tout en se tenant derrière une autre personne, le menaçant d’un kunaï.
-C’est vrai, acquiesça un ninja.

-Et s’il s’était séparé de l’otage pour attaquer le ninja de dos, celui-ci aurait pu riposter, ajouta un autre ninja.
-Mais le corps du ninja ne présente aucune trace de lutte. D’où la question suivante : Comment un ninja de ce rang ait pu se faire avoir de la sorte sans riposter.

Takagi passa la main derrière ses cheveux, embarrassé.

-C’est la même astuce qu’ils ont utilisé ici, s’exclamèrent tous les ninjas de l’unité huit.
-En menaçant de tuer l’otage s’il remarque un comportement suspect et en lui donnant de fouiller le ninja devant lui, celle-ci peut facilement se placé derrière celui-ci et l’éliminer sans problème vu que ce dernier croit qu’il a devant lui une femme prise en otage, dit l’un des ninjas.
-Il y a un autre fait qui m’a définitivement convaincu. Quand il a senti que quelqu’un le suivait et a placé le kunai à la gorge de la femme, n’avez-vous rien remarqué de bizarre ?

-Maintenant que vous le dites, reprit un ninja, je m’attendais à ce que la femme demande de l’épargner et supplie pour sa vie ou un truc du genre.
-Mais elle était étrangement calme, ajouta un autre ninja. Elle a parlé de sa famille une fois qu’il a commencé à compter.
-Cela ressemblait à une mise en scène, dit Sato.
-Pourquoi n’as-tu pas lancé l’assaut à ce moment-là alors ? Demanda Takagi.
-C’est vrai qu’on aurait pu les capturer à ce moment-là. Mais je voulais voir ce que tu avais en tête.
-Tu étais quand même conscient que je risquais de me faire tuer ?
-Biensur, répondit-elle. Mais tu n’es pas mort, donc tout va bien non?

Au moment où Takagi allait répondre, un ninja prit la parole :

-Qu’est-ce qu’on fait de lui ? On doit continuer notre ronde.
-On s’en occupe, répondit Takagi. On va l’amener au poste pour l’interrogatoire. Merci de votre collaboration !
-Les ninjas de l’unité huit les saluèrent et reprirent leur surveillance.

-Ces gars de la police sont vraiment des malades. Lancer des kunais sur une cible invisible sans la toucher…, dit l’un des ninjas alors qu’ils se déplacèrent d’arbre en arbre.
-Et vous avez vu cette Sato ? Atteindre sa cible à la nuque à cette distance, en plus avec un kunaï…
-Et moi qui voulais postuler en tant que ninja policier…
-Oublies mon vieux, ces gars-là ne jouent pas dans la même cour que nous.

[Lire chapitre 19]

 

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