
Bonjour et bienvenue pour ce que nous allons appeler une révolution.
Voici le nouveau iScan, ou iChapitre pour nos amis francophones.
Qu'apporte le nouveau I-chapitre ? Tout.
- Révélation
- Suspense
- Nouveauté
Le nouveau iChapitre sera disponible en 2 versions :
Alors vivez vous aussi la révolution !
*PS : Toute ressemblance avec un célèbre produit est totalement
volontaire puisque c'est une parodie. Allez et mangez des pommes.
Non, pas de news, car je fais grève.
Oui, je fais grève car je veux une rentrée le 15 Mars et 8 mois de vacances et, évidemment, un chapitre de Naruto tous les jours.
Bon, après des négociations très dures, je n'ai pas obtenu la rentrée le 15 Mars mais, j'ai obtenu le chapitre 601.
Alors, bonne lecture à tous.

La vie du combattant, dans Naruto, s’accompagne de quelques interdits moraux, comme le fait remarquer notre bien-aimé ermite Jiraya dans le dix-septième tome de la série, juste avant de les transgresser simultanément – vous en souvenez-vous ? Ils sont au nombre de trois : l’alcool, les femmes et l’argent.
C’est principalement de ce dernier interdit dont je me préoccuperai dans la suite de ce texte. En effet, à bien réfléchir, je vois dans cette prescription morale une contradiction. Bien qu’il soit interdit aux ninjas de mener une vie de dépense et de débauche, chaque mission est, pour eux, l’occasion de s’enrichir, les services qu’ils rendent étant rémunérés par celui qui a proposé l’offre : il suffit de se rappeler la fraude, la faute commise par Tazuna dans le deuxième tome de la série, devant les hautes instances du village caché des Feuilles.

Il y a cette foule en délire
Et des nécessités impérieuses
Il y a la nuit ces hommes qui chantent
Et les peurs que l'on noie dans la gnôle
Il y a le brouillard des jours gris
La terre avalant chaque pas
Et mes cheveux couverts de suie
Imagine
si je mourais iciMon corps éclaté jonchant le sol
Cet irréparable rouge sur fond blanc
La neige glacée mon amour mon âme
Imagine ton souvenir disparaître
Mon cœur encerclé de mille ennemis
Un champ où tu ne pourrais venir me chercher
Une balle dont tu ne pourrais me sauver
Ni tes baisers ni tes caresses
Ni tes bras ni tes mains et tes larmes
Rouleraient emportées déjà par quelque Styx
Et moi j'aurais déjà disparu à jamais
Englouti par la vase et les courants
Il y a ici des eaux troubles et lentes
Elles charrient mille sons et mille odeurs
Et me demandent chaque jour quand je m'y noierai